jeudi, octobre 12, 2006

Never Hear The End Of It

Après les faces de citron d'il y a deux jours restons donc dans le registre mélodies sautillantes à grosses guitares, because j'ai une remontée de fièvre powerpopienne. Le groupe canadien Sloan, immensément respecté chez lui et ignoré par le reste du monde, sort ces jours-ci son huitième album, Never Hear the End of It.
Trente (!) chansons au compteur ne dépassant que rarement les deux minutes et regorgeant de suffisamment de coups de théâtre dans chaque titre pour pouvoir tenir la comparaison avec leurs excellents compatriotes des New Pornographers.
Bref, un groupe que la patine du temps n'a pas encore rendu fréquentable.

Trois extraits:

Sloan:

3 commentaires:

Anonyme a dit…

Je constate avec surprise que Peter a viré Sloan et engagé trois musiciens mais a conservé le nom de Sloan et viré le sien...
C'est à n'y rien comprendre...
Ces canadiens font "vrémin n'imporrrte quoué" !

michelsardou a dit…

Même moi, celle-là je n'ai pas osé la faire ;)

michelsardou a dit…

D'autant plus que j'en ai rêvé toute la nuit. Donc merci.