
C'est sûr: chanter sur des pratiques que la morale réprouve derrière un piano saccadé, ça vous donne un genre.
Du coup, je me tate fortement à les qualifier de groupe qui a basculé du côté obscur de l'onanisme, un peu à cause de leurs textes et surtout à cause des maquillages que le mime Marceau, dans toute sa splendeur 70's, n'aurait pas renié. Je rajoute qu'ils se sont sérieusement assagis sur ce dernier album.
Mais voilà, ce sont des Fiery Furnaces présentables à ma maman, et quelques-unes de leurs chansons ne sont pas loin de l'imparable, comme celle-là:
The Dresden Dolls: Dirty Business (MP3)
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