The Rockets
Ah c'est sûr que cette inscription au dessus de la photo évente un peu les effets de surprise que j'aurais voulu faire, du genre et vouaive vous ne les connaissez pas mais en fait si vous les connaissez, car ce groupuscule s'est transformé en un des groupes les plus mythiques de l'histoire du Rock.
Mais comme il y a marqué qu'ils sont devenus Crazy Horse par la suite, je ne peux même pas vous régaler d'une des saillies drolatiques qui ont fait la réputation de ce blogue à l'humour glacé et sophistiqué.
N'y allons pas par quatre chemins, cet unique album de The Rockets est très loin du son de Crazy Horse, d'abord parce que seul trois membres de ce groupe s'en sont aller fonder le cheval fou (Talbot, Molina & Whitten), et ensuite parce qu'il tape dans vraiment tous les styles (en vrac Country, Soul, Folk Rock) et que la vraie grande surprise vient en fait de l'ajout d'un violon électrique qui donne un côté assez imprévisible à la chose.
Prenez le premier morceau de l'album, Hole in My Pocket, morceau assez plan plan s'il en est, jusqu'à ce que le violon intervienne, et là ça guinche grave dans les chaumières, je sors alors mon casque à plumes et commence à faire la danse de la pluie dans le salon. I Won't always Be Around, par contre, me donne une envie irrépressible de papouiller ma squaw.
The Rockets:
Hole in my Pocket (mp3)
I Won't Always Be Around (mp3)
2 commentaires:
Tiens donc !
Sur le 2ème album de Neil Young, Everybody knows this is nowhere, avec le Crazy Horse première mouture, il y a un morceau sublime qui s'appelle ironiquement Running Dry (requiem for the rockets) où l'on entend Bobby Notkoff le violoniste des rockets justement.
Enregistrer un commentaire