dimanche, avril 06, 2008

La reprise du dimanche: 87

Un de ces quatre individus n'est pas membre de Yo La Tengo. Sauras-tu le reconnaître?

En train de slalomer entre les touristes japonais qui rigolent devant le Manneken Pis, déguisé pour l'occasion en moine tibétain. Je me dis que Fakebook mérite une place de choix dans le michelsardou's top 5 des albums à la coule. Et, et, là ami lecteur, tu te dis que ça t'en touche une sans faire bouger l'autre.
Déjà, je mets lecteur au singulier car il ne doit pas en rester beaucoup suite au hiatus indéterminé qui a affecté UVUJ suite au départ de ma femme pour la couche de NotBilly.
Ensuite je me dis que c'est pas juste, car Georgia Hubley qui fait que dès qu'elle ouvre la bouche, tout le monde écoute. La preuve?

Yo La Tengo :What Can I Say

What Can I Say est la chanson qui a conclu le concert du groupe à chaque fois que je les ai vus (c'est à dire pas souvent) (serait-ce une habitude?). Cette chanson a été composée par certain Joey Spampinato qui est un absolu inconnu au bataillon en ce qui me concerne. Et que pour faire encore plus mon intéressant, voici une reprise du classique de Bert Jansch.

Yo La Tengo: Needle of Death


En même temps, il ne faut pas m'en demander beaucoup, je reprends.

mercredi, avril 02, 2008

Pas reveillé


Elle devait en avoir une sacré, de tronche de pas réveillée, la belle au bois en ouvrant l'oeil. Il a du avoir une petite frayeur le père prince charmant en voyant cet oeil cerné, en sentant son haleine de poney mort...
Sleeping states, je ne ne sais pas si ça veut dire états endormis ou états de sommeil. Mais tant pis. Ça faisait un sacré bout de temps que je n'avais pas écouté un rock un peu urbain, sans gratte folk, ni canassons au saloon. Et, pour me ramener en ville, il en faut du talent. C'est un bel album que celui-ci, assez simple, indéfinissable, à rebours de l'envers du décor. Une belle voix, sans efforts ni démonstration, un peu lo-fi mais sans facilité, sans pose, riche à sa manière. C'est vraiment un bel album. C'est un bel album. Un bel album.Un album. Pas un de plus.

Sleeping states : There the open spaces
En cliquant sur le nom du groupe, vous tomberez sur le myspace, avec une belle cover de "Don't make me over". Le lien sur le titre de l'album renvoie à un site marchand.
Et je vous mets le clip plutôt qu'un MP3 car le clip est bon, c'est rare. Le réalisateur a bien su retranscrire cet état comateux de belle au bois dormant se réveillant à rebours dans un monde à l'envers. Ou le contraire.