Il y a des choses à ne pas faire
Un virus circule...Pas (encore) celui de la grippe aviaire, ni celui de s'aimer les uns les autres. Je parle de la crève carabinée qui s'est abattue sur mes collègues et moi. Du coup, je m'enfile des tisanes au miel à la chaîne, en écoutant bien sûr de la musique. Et là, il y a un truc à ne pas faire, c'est d'écouter l'album éponyme de The Band.
Notamment The Night They Drove Old Dixie Down (MP3).
Vous voulez des détails? C'est littéralement le grand frisson à chaque fois. Dans mon état, c'est mortel. Je repars d'éternuements. Là je viens de crépir mon écran (mais je donne peut-être un peu trop de détails). Je n'y peux rien, c'est épidermique. Une synthèse de toutes les musiques qui les avaient précédés, les pieds dans la boue, le regard vers les étoiles (ce que j'écris est beau à en pleurer, comme du JD Beauvallet). Ils étaient déjà vieux à leur sortie, ils sont intemporels depuis.
A propos, entendu chez Morning Becomes Eclectic, une émission dans laquelle Robbie Robertson, leader du groupe, revient sur sa carrière. Elle est passionnante et je retourne me faire un grog.
4 commentaires:
Wow !! Là, ce n'est plus du sublime : on touche carrément au divin ! Une pépite pareille doit surement tuer les microbes aussi ! Soigne toi bien !
Cette chanson, au bout de deux écoutes, c'est la pire des drogues. J'ai beau faire l'imbécile, tous les symptomes décrits sont authentiques. Et ce n'est qu'un bout de l'album, le reste est à l'avenant. Bref, j'en suis fada...
En effet elle est vraiment géniale!
Plus d'infos sur cette chanson ici:
http://theband.hiof.no/articles/dixie_viney.html
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