vendredi, mars 30, 2007

Van à 2 balles

"Hey Salut, Van, How do you douille ?
- Very bien and you, NotBill, old branche ?
- Dis moi, VV, mon Vieux Van, c'est quoi cette histoire de sonnerie de téléphone, is it vrai ?
- Bien sûr que c'est true ! I have inventé the ringing bell of the electronic téléphone, of ze course !
- Nawak, Van, tu me tell que des billevesées !
- Bon I raconte to you : I was under a redwood tree, il pleuvait, il y avait même, even thunder...
- Quoi ? tu te mets à l'abri sous un arbre quand il y a de l'orage !! tu ne sais pas que c'est dangerous ? !
- well, we were young... et là, scratch, je me suis pris le thunder et toulouloulouloute, toulouloulouloute, je me suis mis à sonner comme un phone electronique !
- Incredibeule ! Je ne conaissais pas cette story !
- J'avais pourtant chanté ça dans Redwood tree. Listen to the sonnerie at the very end, around 2'30"..."

Extrait de Van Morrison a tout inventé, de la cave au grenier, par NotBillyTheKid, ed. Jean-Jacques Laffont coll. les géants de papier.

Van Morrison* : the redwood tree (mp3)


*Pas de lien marchand pour une fois : le CD de Saint Dominic's preview semble épuisé de partout !!! N'importe quoi !! Hey ! Polygram, on quitte la machine à café et on bosse !

jeudi, mars 29, 2007

Wanker & wackers


Ça en deviendrait presque lassant... Dès que je trouve un truc bien, en l'occurence, ici, The wackers, pêchés sur mon coffret Elektra que j'ai eu pour mon super Nanny-versaire, je m'aperçois que c'est réédité par Collector's choice. S'ils cherchent un gars en France à qui filer toutes leurs nouvelles sorties pour avoir une chronique dithyrambique, je veux bien être cet homme-là.

Ça en devient un vrai boulot de branleur de dénicher des trucs pour ce blog : Elektra-> Collector's choice -> gueules sur la pochette : c'est du tout bon, du tout cuit !

The Wackers : I hardly know her name (mp3)

dimanche, mars 25, 2007

La reprise du dimanche : 66


Un funnel. C'est bizarre ça, un funnel. Je connaissais un "tunnel", mais pas le "funnel". "Tunnel" comme dans le "tunnel of love" de Springsteen. Mais un "funnel of love", je ne connaisais pas. Wanda Jackson en a pourtant un "funnel of love".
Et ce "funnel of love" est repris par Southern Culture on the skids, ça tombe bien, non ?

Southern Culture on the skids : Funnel of love (mp3)

mercredi, mars 21, 2007

Un printemps frisquet


Hier, michelsardou nous parlait du Modern Folk Quartet.
Sur la photo, j'ai cru reconnaître Punch de C.H.I.P.S. avant de réaliser qu'il s'agissait de Cyrus Faryar...
Ce Cyrus est un de ces folksingers éclipsés par Buckley. La voix vous rappellera le père Tim si bien que vous penserez peut-être que lui aussi tente d'imiter Fred Neil... et trouve ainsi sa propre voix.
L'album est bon. S'il contient quelques faiblesses, la cover de Randy Newman (I think he's hiding) vaut à elle seule le coup d'oreille. Ne serait-ce que pour comprendre que l'influence de Newman sur lui apporte cette petite différence qui le distingue des deux monstres sus-cités.
Le titre du jour est choisi pour des raisons purement circonstancielles... Mais a-t-on entendu chanson printanière plus glaçante ?

Cyrus Faryar : Springtime Bouquet (mp3)
L'album est encore réédité chez ces furieux de Collector's choice à qui je tire mon chapeau une fois de plus

mardi, mars 20, 2007

Fédération américaine de Folk

Difficile de croire que cette sucrerie, ce chamallow grillé, ce loukoum puisse être le fruit de l'imagination malade d'un groupe qui se nomme Modern Folk Quartet. On dirait pourtant un (très) bon morceau des Beach Boys, capturant le même mélange d'optimisme et de finesse mélodique.
Papa Ingalls avait déjà évoqué la musique de la femme d'un des membres du groupe la semaine dernière, je vous laisse donc déguster ce morceau qu'on peut trouver sur la compilation Back To Mono. Ah oui, parce que c'est produit par...
The Modern Folk Quartet: This Could Be the Night (mp3)

dimanche, mars 18, 2007

La reprise du dimanche : 65

Je suis snob, je n'y peux rien. On me demande: tu aimes Jeff Buckley? Je réponds: bof, je préfère son père. Ça ne s'est pas arrangé depuis que j'écris sur un blog.
Prenez les Doors, il est de bon ton d'écrire: bon bah la musique, c'est pas mal, mais les paroles de Jim Morrisson, c'est vraiment n'importe quoi.
Le vrai snob trouverait à redire, trouvant qu'il y a des choses à sauver. Pas moi, parce que je me contrefous des Doors. Je ne suis donc pas complètement irrécupérable. C'est juste que j'ai eu le malheur d'avoir 16 ans au moment de la sortie de la bouse d'Oliver Stone. D'où un certain dégoût certain devant plusieurs camarades de classe tentant de me convaincre du génie de cette musique.
Reconnaissons tout de même que Riders on the Storm est une putain de bonne chanson, que Manzarek tout ça, et que Light My Fire est un des morceaux gonflants les plus repris de toute l'histoire de la musique. Florilège:

Un nombre incalculable de reprises Soul (Al Green, Minnie Riperton, Stevie Wonder).
Unnombre incalculable de reprises glaçon chantées d'une voix pâle et désincarnée (Claudine Longet, Nancy Sinatra, Astrud Gilberto).
Voici la plus rutilante:
Shirley Bassey: Light My Fire (mp3)

Une version Hard-Rock qui n'essaie pas de copier à tout prix:
Birth Control: Light My Fire (mp3)

Une version adaptée en langue autochtone, qui me fait mourir de rire.
Innominati: Prendi un fiammifero (mp3)

Bien sûr, je vous épargne les versions Jazz-Rock, Disco et finlandaises...

samedi, mars 17, 2007

La cigogne est passée!

J'espère que mon camarade ne m'en voudra pas de révéler cela à la face du monde, mais on risque de moins le lire dans les temps qui viennent. Tout ça parce qu'il aura d'autres chats à fouetter, pardon, d'autres chaton(e)s à langer.
Alors je voudrais adresser toutes mes félicitations à la maman, au papa et à toute la famille NotIngalls.

The Flaming Lips: The Big Old Bug is the New Baby Now (mp3)

OK, c'est un peu incongru. Alors voilà:

The Singing Adams: Hello Baby (mp3)

jeudi, mars 15, 2007

La truite du Beefheart

Une copie d'une copie d'une copie de copie de vidéo K7 toute pourrie transférée sur Youtube qui donne un petit effet pixellisé du meilleur goût. Un son qui flirte avec le potable. Ah!
Pourquoi m'entête-je à poster cette infamie de vidéo toute moisie?
Mais c'est le bon Captain Beefheart, voyons! Et il joue, avec son Magic Band des titres extraits de Trout Mask Replica.
J'ai eu beau avoir cherché, pas trouvé mieux.

mercredi, mars 14, 2007

le grand corps merdeux / il me gonfle

Il m'énerve ! Il me gonfle !
Il m'énerve !
Il m'énerve !
Il m'énerve !
Il m'énerve !
Il m'énerve !
Il m'énerve !
Il m'énerve !
Il m'énerve !
Il m'énerve !
Il m'énerve ! Il me gonfle !
Il m'énerve !
Il m'énerve !
Il m'énerve !
Il m'énerve !
Il m'énerve !
Il m'énerve !
Je ne m'arrête, ici, dans ce blog, seulement sur ce qui me plaît. Jamais sur ce qui m'énerve... Mais, là, je sature :
Il m'énerve !
Il m'énerve !
Il m'énerve ! Il me gonfle !
Il m'énerve !
Il m'énerve !
Il m'énerve !
Il m'énerve !
Il m'énerve ! Il me gonfle !
Il m'énerve !
Il m'énerve !
Il m'énerve !
Qui ? Ah, oui, je n'ai même pas envie de dire son nom. C'est le grand gars avec sa béquille alignant des comparaisons de CM2 toutes pourries ("c'est comme la vie", si, si, il ose !) avec une voix à la François Baroin. Que ça soit simplement tout nul, ça ne m'énerverait pas autant, mais que ça plaise autant, ça m'énerve... ça me dépasse...

Alors, je lance l'artillerie lourde à partir d'aujourd'hui. Voilà la poésie que j'aime. Je pense que, si certains aiment "ça", ils devraient préférer, adorer, aduler la poésie que j'aime, ce n'est pas possible, je pense, d'être aussi réceptif à tant de vide ! Alors, comme j'ai confiance en l'humanité, je crois que c'est juste une méconnaissance du reste, d'où la nécessité de diffuser encore et toujours toute cette fabuleuse aventure du XXème siècle littéraire...

Ainsi, de temps en temps, au milieu de la zizik, je vous proposerai de la zizie.

Commençons par un titre approprié, extrait du CD édité par les éditions Cactus, CD qui, je crois, est épuisé.
Christophe Tarkos nous a quitté, il y a quelques deux années. Pour ceux qui l'ont rencontré, entendu lire, cela crée un grand manque, un creux, un trou.

Je l'ai ce trou de lui.

Renseignez-vous, cherchez chez
POL & AL DANTE et ailleurs, lisez-le...

C'est tellement bien, tellement mieux...


Christophe Tarkos : L'homme de merde/je gonfle (mp3)

mardi, mars 13, 2007

Holy Buddy !

Une fois n'est pas coutume, commençons par le titre, à la Blind Billy :

C'est parti. Vous écoutez ?




Là, je descends pour vous cacher la suite...













Je descends encore....






et encore.....


Voilà,
Je voulais qu'on attaque sans a priori.
Je suis tout content car un nouvel album Ry Cooder est sorti hier,et, comme d'habitude, c'est toujours la promesse d'un album qui dure. Jamais vraiment immédiats, on apprend à les aimer (ou pas) sur le long cours. Celui-ci est axé sur un triangle Blues-Folk-Soul autour du Mississippi, je pense. Un petit voyage dans le passé américain.
Comme toujours avec ce bon Ry, c'est à la fois lêché et bancal, foutraque et clean.
Comme toujours, l'album est trop long, avec des titres dispensables.
Comme toujours, il chante comme un pied, et joue de la guitare comme un dieu.
Comme toujours, il contient de véritables merveilles qui rachète tout.
Comme toujours, il n'est pas le seul à chanter.
Comme toujours, c'est important de l'écouter...

La pochette est hideuse, je vous l'accorde... Mais qu'importe la canette pourvu qu'on ait l'ivresse.

Ry Cooder : My name is Buddy (MP3)

dimanche, mars 11, 2007

La reprise du dimanche : 64

Oh la reprise casse-gueule! Oser s'attaquer au grand Jacques! Et en anglais en plus! Mais ils ne respectent rien!
Il faut que j'avoue que cette reprise du dimanche part du week-end dernier, passé à Amsterdam, à écumer les nombreux et excellents magasins de vinyle que cette pluvieuse cité compte en masse. Chez un disquaire / marchand de pommes (authentique!), le tenancier est vaguement accoutré en moine. Je rentre. Au milieu de centaines de disques de classique, de 78t, un coin réservé aux vieilleries Rock. J'y fonce. Un client a son auguste postérieur posé juste devant la lettre D. Je lui demande de se pousser, il me regarde d'un oeil torve. Et là, paf!
LE Dion, celui à la pochette affreuse, le seul qui manquait à ma collection de la période 68-75.
Dion à son plus austère, seul à la guitare, avec dessus cette reprise foudroyante de "Quand on n'a que l'amour".
Alors des reprises en anglais, il y en a. Des tonnes, même. Chantées par des superstars. Mais aucune n'a cette tenue, ni cette interprétation a vous faire hérisser le poil, qui n'a jamais le mauvais gout de tomber tout à fait dans le pathos.
Comme le dirait mon estimé camarade: c'est beau, c'est bon, c'est Dion.
Dion: If We Only Have Love (mp3) + un deuxième lien, parce qu'on ne sait jamais.

vendredi, mars 09, 2007

Gorilles embrûmés

Oooooooooooh !
Aaaaaaaaaaaaaaaaaaaaahhhhhh !
Uhhhhhhhhhhhhh !
Tout Nilsson est là :
Délicate, cette version, très délicate, comparée à la version de l'album.
Délirante, cette version, très délirante, comparée à l'image délicate qu'on colle à Harry.
Tout Schmilsson est là.

Harry Nilsson - Coconut (je rajoute le meupeu trois un de ces quatre)

mercredi, mars 07, 2007

The Rockets

Ah c'est sûr que cette inscription au dessus de la photo évente un peu les effets de surprise que j'aurais voulu faire, du genre et vouaive vous ne les connaissez pas mais en fait si vous les connaissez, car ce groupuscule s'est transformé en un des groupes les plus mythiques de l'histoire du Rock.
Mais comme il y a marqué qu'ils sont devenus Crazy Horse par la suite, je ne peux même pas vous régaler d'une des saillies drolatiques qui ont fait la réputation de ce blogue à l'humour glacé et sophistiqué.
N'y allons pas par quatre chemins, cet unique album de The Rockets est très loin du son de Crazy Horse, d'abord parce que seul trois membres de ce groupe s'en sont aller fonder le cheval fou (Talbot, Molina & Whitten), et ensuite parce qu'il tape dans vraiment tous les styles (en vrac Country, Soul, Folk Rock) et que la vraie grande surprise vient en fait de l'ajout d'un violon électrique qui donne un côté assez imprévisible à la chose.
Prenez le premier morceau de l'album, Hole in My Pocket, morceau assez plan plan s'il en est, jusqu'à ce que le violon intervienne, et là ça guinche grave dans les chaumières, je sors alors mon casque à plumes et commence à faire la danse de la pluie dans le salon. I Won't always Be Around, par contre, me donne une envie irrépressible de papouiller ma squaw.

The Rockets:
Hole in my Pocket (mp3)
I Won't Always Be Around (mp3)

mardi, mars 06, 2007

Un bon meurtre se mérite

Partons ensemble assister à un meutre, voulez-vous bien ?

J'ai commis un crime.
Un véritable crime, je vous assure. J'ai découvert cet album l'an dernier et je vous l'ai caché, je l'ai gardé pour moi, au chaud. Au lieu de mettre à jour un trésor caché, je l'ai enfoui encore plus profondément. N'est-ce pas criminel ?

Il s'agit du premier album de Judy Henske. Si vous connaissez le second, High flying Bird, ou sa collaboration avec son Jerry Yester, oubliez ce que vous savez. Il ne s'agit ni d'un album de folk habituel, ni d'un trip psyché. Cet album, en partie studio, avec jazzband, en partie Live seule à la guitare ou au banjo est très surprenant. Absolument époustouflant de force, de finesse et de drôlerie, il dévoile une fille espiègle capable, en une seconde, de se transformer en monstre de scène. Car la dame n'a pas fait les notes de pochette d'un Phil Ochs pour rien : comme lui, elle présente ses chansons par de très longs discours, très drôles. Et, parce qu'une merveille comme celle-là se mérite, j'ai choisi cette murder ballad précisément parce qu'elle est précédée du plus long speech de l'album (5 minutes, pour 3'49 de chanson). Elle commence tendrement et finit en fureur.
Au fil de l'album, on comprend qu'elle est de celles qui ont moins été influencées qu'elles ont influencé : je mettrais ma main à couper que, de Janis Joplin à Jeff Buckey, les adorateurs célèbres de cet album ne manquent pas.

Vous vous demandez peut-être ce qui m'a posé à dévoiler mon crime... Alors voilà : il a dû sortir hier Big Judy, How far this music goes (1962-2004) une double compil de Judy Henske chez youplaboumbaboum RhinoHandmade comprenant 41 titres (dont celui-ci, sans l'intro, et 3 inédits). Ça me fait bougrement envie. Une belle envie de meurtres en ballades.

Judy Henske : Love Henry (mp3)

dimanche, mars 04, 2007

La reprise du dimanche : 63


Quand la reprise est plus connue que l'orginal on imprime l'original.
Ou presque.
Alors qu'on nous fait tout un plat du film où on déguise une belle pépée en dame pré-vieille à grand renforts de mascara et de promo, rappelons-nous que "L'homme à la moto" est un titre signé par le duo Lieber&Stoller. J'ai toujours voulu écouter l'original, alors, aujourd'hui, je l'ai fait. Et j'ai trouvé cette version de 1955 des Cheers (?) qui fut un tube, apparemment. Je ne sais laquelle est l'orginale.

Ce n'est pas aussi Rock'n'Roll que je croyais... Mais ça vaut le coup d'être écouté toutefois.

Vaughn Monroe : Black denim trousers & motorcycle boots (mp3)
The Cheers : Black Denim trousers & motorcycle boots (mp3)

vendredi, mars 02, 2007

Le petit marché de Jean-Pierre Coffimiamiam #4 (bis)

Menu michelsardou

Entrée classique:
Van Dyke Parks: Song Cycle.
Parce que j'en ai décha parlé , qu'on peut le trouver à vraiment pas cher, et que cet album fut un tel bide qu'elle imagina toutes sortes de stratagèmes pour bazarder tout le stock d'invendus (buy one, get one free pour vos collègues/ votre copie est fatiguée? Renvoyez-la nous, on vous la remplace)

Le Plat du mois:
Panda Bear: Person Pitch.
Sans conteste l'album le plus drogué et le plus ébouriffant de ce début d'année. Ne le laissez pas prendre contrôle de votre baladeur, ne l'écoutez pas d'une oreille distraite sous peine de se retrouver à faire de la brasse coulée sur le trottoir, de vouloir courir nu et d'embrasser toutes les passantes.


Dessert maison:
Jean-Claude Vannier: L'enfant assassin des mouches.
J'aurais aimé vous parler du génial Ys de Joanna Newsom sur lequel j'ai enfant réussi à mettre la main ce mois-ci, mais les 47 euros que j'ai dû payer grèveraient bel et bien un budget aussi serré.
Alors j'ai mieux qu'un pis aller, cet OVNI des années soixante alternativement bruitiste et groovy, amusant et glaçant. De prime abord fortement horripilant puis au fil des écoutes totalement captivant. Absolument recommandé (voir à ce sujet le billet de Bruno sur la Blogothèque)




Le digeo! le digeo!
Ah! mais ce ne peut être rien d'autre qu'un extrait de l'indispensabouloubilissime album de Panda Bear. Ai-je précisé qu'il était membre d'Animal Collective? On s'en balance? Ah bon.
Panda Bear: Good Girl/ Carrots (mp3, de presque 13 mn tout de même)

jeudi, mars 01, 2007

Le petit marché de Coffimiamiam #4

Pas de marché en décembre ni janvier, mais un petit en février...
Toujours moins de 30€ pour 3 CDs. (On vous laisse trouver qui vend quoi à quel prix)

Menu Not Billy

Entrée Classique :
Dusty Springfield Dusty in Memphis
Un classique de chez classique de chez classique de chez classique. Mais, franchement, se passer de ce chef d'oeuvre intemporel, ou ne l'avoir qu'en mp3 étouffés, alors que cette version au son impeccable, contenant des titres bonus absolument incroyables (Live here with you, Breakfast in bed...) est à ce prix là, ce serait criminel pour votre discothèque.


Prix conseillé : 5€93 (+fdp)

Plat du mois :
The Fratellis Costello music
Contre toute attente, j'aime plutôt ce rock énergique. Je le ressortirai plus cet été, pour la compile. Un bon petit mix sympatoche.

prix conseillé : 11€90 (+fdp)



Dessert Maison :
P.F Sloan Pleasure Measure.
J'en parlais l'autre jour. Depuis que je l'ai découvert, il tourne en boucle. L'enregistrement est peu soigné, on sent qu'il a fait une prise ou deux sur les voix, mais là est tout le charme de cet album à la fois simplement évident et inouï. Mon disque du mois à moi.

Prix conseillé : 6€90 (+fdp)

LE DIGEO, LE DIGEO, LE DIGEO !

Eh bien vlan, en digestif, un second titre en une semaine de P.F. Sloan, parce que vous connaissez certainement mieux les deux autres, et que j'y tiens. Et, cette fois encore, je ne sais lequel choisir. Alors je prends ces jolies arabesques autour d'un simple Bo Diddley beat.
P.F Sloan : Star gazing (MP3)