Sandy Salisbury
Je sais que le nombre de billets consacrés à la galaxie Boettcher-Ballroom- Millenium- Sagittarius-Usher commence à tenir de la monomanie; mais c'est comme ça et pas autrement, car tel un Ray Domenech (le clavier des Poors), j'ai un fil conducteur auquel je me tiens et je resterai droit dans mes clarks jusqu'à la défaite. Non, mais.
Sandy Salisbury, qui est probablement le membre le moins connu de cette smala-là, n'a jamais porté de robe à fleurs puisque son vrai nom est Graham et qu'actuellement, elle arbore fièrement une magnifique barbouze.
Des gens, aux US, s'étonneraient même qu'il ait pu faire carrière dans la musique puisqu'il est actuellement une superstar de la littérature enfantine (voir son site, avec ces déclarations du genre "croyez-le ou non, j'ai aussi fait de la musique").
Le changement de profession s'explique par une propension assez invraissemblable pour les coups de malchance et ceux de pas de bol dont on fait les légendes: une poignée de singles sortis, un album jamais publié et une centaine de chansons composées restées inédites.
Côté 'zique, on reste proche de la veine Millenium (soit assez proche des Beach Boys) en moins psychédélique, avec des accents Country (Pedal Steel et Harmonica) ma foi fort bienvenus et les extraits proposés sont (hélas) loins d'être représentatifs, car s'il n'est jamais génial, le gars a une certaine régularité dans l'excellence.
Sandy Salisbury:
- I Just Don't Know How To Say Goodbye (MP3 qui doit s'écouter au moins jusqu'à la deuxième minute pour se rendre compte)
- Do Unto Others (MP3 idem)
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire